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jeudi 25 septembre 2014

21,1 km course des 3 villes - 35e édition du 21/09/2014 - Le Tréport

Courses des 3 villes : semi-marathon


Prévue de longue date, j'avais hâte d'être sur la route en direction ma campagne natale pour ce petit week-end prolongé avec, en guise d'entrée, un semi-marathon du côté des villes sœurs que sont Le Tréport, Mers les Bains et Eu.
Ce week-end commence mal. Le trajet est quelque peu perturbé par de violents orages mais j'arrive quand même à Ganaches en temps et en heure pour aller faire quelques courses et surtout me rendre au retrait des dossard.
Devant le magasin sponsor de l'épreuve, pas de stand pour le semi-marathon,. Une dame m'invite à rentrer dans le magasin pour aller au rayon chaussures et là fraueyr, mon nom n'est pas dans la liste ? Une autre dame m'informe qu'une seconde liste est affichée sur le poteau opposé, tout va bien, je retire mon enveloppe rapidement, retour à la maison.















Malgré les prévisions météos qui n'annoncent pas de grosses perturbations pour le lendemain je reste sur la réserve mais quoi qu'il arrive, faudra faire avec. 
Mes affaires étant prêtes je me réveille au dernier moment. La nuit a été un peu agitée, comme chaque première nuit passée à la campagne même si c'est la chambre de mon enfance. J'avale vite fait un petit déjeuner, passage dans la salle de bain, je suis prêt alors que ma fille se fait attendre. Le ciel est bien couvert voir menaçant mais la température est agréable sauf que j'ai oublié un détail, ma maman habite une petite vallée à 15 km de la mer. En arrivant à Eu, je constate la présence d'un vent assez fort qui va certainement nous enquiquiner. 
Il est 8h15 environ et tous les bénévoles dont déjà en place aux carrefours et ronds-points. La voiture garée à côté de la caserne des pompiers de Mers-les-Bains, je rejoins la zone de départ à pied. 
Ils sont déjà nombreux à s'échauffer. De mon côté, je fais un petit tour pour explorer et repérer les lieux, donner un point de rendez-vous à ma fille. Un sifflet retentit pour nous demander de rejoindre la ligne de départ à quelques centaines de mètres de là, devant l'office du tourisme. Comme compté vite fait la veille sur les listes affichées, c'est environ 300 personnes qui s’apprêtent à prendre le départ de ce semi-marathon. 
Un rapide briefing il est demandé aux marcheurs et spectateurs de se mettre sur le côté et le coup de pétard retentit, la course est lancée !














Et ça part vite pour une première petite boucle qui nous fait faire le tour de la zone d'arrivée. De retour à proximité de l'office du tourisme nous reprenons la première ligne droite du départ sauf qu'au bout, cette fois nous tournerons à droite. 
Commence une boucle à parcourir deux fois avant de quitter Le Tréport. C'est là que commencent les difficultés. Un léger faux plat et une petite butte qui casse un peu le rythme. Quand j'entame pour la première fois cette petite grimpette, je croise le premier qui se trouve le quai François 1er, je l'encourage ! 
Quelques personnes sont à leur porte et nous applaudissent, ça fait du bien. Avec un beau soleil ils auraient été plus nombreux. A mon second passage les barrières métalliques tombent les unes après les autres poussées par ce vent violent. Ce même vent nous l'aurons de face tout au long de l'esplanade jusqu'au casino. 
Ce satané vent combiné à un début de parcours bosselé et une vitesse trop élevée font que je ne tiendrai pas cette allure jusqu'au bout. A chaque passage sur la ligne de départ les encouragements son nombreux et font du bien, mais la balade dans Le Tréport est terminée, maintenant direction Mers-les-Bains. 
Ici ce n'est pas le semi-marathon de Paris : les kilomètres ne sont pas tous annoncés, seule une pancarte de temps en temps nous donne une indication sur le kilométrage restant. 




Heureusement j'ai ma montre qui me donne des indications un peu plus précises. Les routes ne sont pas fermées à la circulation mais ici les automobilistes sont moins nombreux, moins stressés et plus compréhensifs qu'à Paris : ça semble se passer plutôt bien. Mais tout comme à Paris le semi fera la même distance et comme il est qualificatif pour les championnats de France il a été mesuré dans les règles de l'art et quelques pointures régionales ont fait le déplacement.

Sur l'esplanade de Mers-les-bains je dois lutter de nouveau contre ce vent sur un bon kilomètre et nous devons aussi franchir quelques obstacles en béton servant certainement à briser les vagues quand la mer déborde, si bien que j'arrive au second ravitaillement, vers le 11e km avec une bielle qui a coulé, plus de jus.
C'est à cet endroit qu'a été donné le départ du 10 km quelques minutes avant mon passage. J'avale un gobelet d'eau vite fait, c'est qu'il reste encore 10 bornes et quelques difficultés à surmonter alors je ne m'éternise pas.
Sur la longue route qui va m'emmener à Eu cinq concurrents vont me passer dont une fille très à l'aise. C'est que les féminines ne sont pas très nombreuses, en tous les cas j'en ai pas vu beaucoup.
Je salue quelques pompiers présents sur un rond-point avant d'avaler un nouveau gobelet d'eau au 3e ravitaillement (14e km).



J'entre dans Eu et il faut grimper sur le pont qui enjambe les voies de chemin de fer. La traversé du centre ville se passe plutôt bien pour moi, je bois encore un peu d'eau au quatrième ravitaillement. A la sortie du centre ville ils sont nombreux à nous encourager, c'est ici que doit être donné le départ de la course de 4 km mais la route qui longe de château et son domaine pour quitter la ville est en faux plat aussi. Je ne la voyais pas aussi longue.
Je vois que certains souffrent plus que moi et se mettent à la marche. Je vais profiter de la petite descente qui suit pour doubler trois ou quatre coureurs mais mon bonheur sera de courte durée car nous allons tourner sur la gauche et ça va grimper à nouveau. Je vais zapper le denier ravitaillement (vers le 20e km) puis accélérer dans la dernière descente. A ce moment précis une féminine me dépasse si vite qu'elle m'a enrhumé.
Troisième et dernier passage dans la rue Saint-Nicolas, puis la rue des Salines, la rue du Dr Pépin avant de retrouver les quais et l'avenue des Canadiens. Juste avant de descendre sur les quais, je dépasse les derniers concurrents du 10 km, une jeune fille qui encourage énergiquement ses deux amis.
Plus que 600 mètres, dernier virage je crois qu'on annonce mon nom au micro, bip bip, c'est terminé, on m'enlève la puce fixée à la chaussure.

Un chrono pas terrible mais avec un 50 km trois semaines plus tôt, un rhume qui m'a ennuyé quelques jours auparavant, une nuit agitée, un parcours un peu salé, un départ trop rapide fallait pas croire au père Noël.
Ce n'est pas grave, je suis quand même très satisfait de cette belle matinée d'autant qu'on va m’offrir un beau t-shirt, un porte-clé, un paquet de gâteau. On est pas au semi de Paris et ses tarifs exorbitants et son maillot en coton mais pour 10 euros ici, on est super bien gâtés.














Un dernier gobelet d'eau et je retrouve ma fille puis nous filons car la famille nous attend du côté de Gamaches. 


Une matinée sportive qui n'existerait pas sans le dévouement de nombreuses personnes. Et il y en avait pour tout le monde : 3 courses, du semi au 4 km en passant par un 10 km mais aussi des marches et des épreuves pour les enfants qui ont répondu présent puisqu'ils étaient plus de 150.
Alors un énorme merci aux organisateurs, à tous les bénévoles.
Merci à ma maman pour son accueil, mon frère pour la moules-frites party lundi soir ! 


Toutes mes photos :


Les traces de mon GPS qui a "merdoyé" un peu du côté de la ville d'Eu


la même trace mais sur openrunner

La page facebook du club organisateur :
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mercredi 3 septembre 2014

2014-08-30 - 50 km de la Sologne des rivières

50 km de la Sologne des Rivières 

Réveil très matinal ce dernier samedi du mois d'août pour nous rendre au départ des 50 km de la Sologne des rivières qui se déroulent à Theillay dans le Loir-et-Cher.
Pascal partira en même temps que moi mais pour les championnats de France des 100 km. Isabelle l'accompagnera à vélo tout au long de cette aventure, une mission bien délicate.

Nous sommes arrivés très tôt la veille pour retirer notre dossard. Après avoir mangé sur place et fait le tour d'un village désertique, nous récupérons nos cadeaux et ces morceaux de papier qu'il nous faudra afficher sur nos tenues le lendemain.
Nous prenons ensuite la direction d'un petit village situé à une petite cinquantaine de kilomètres, chez les parents de Pascal qui ont la gentillesse de nous héberger pour l'occasion. Je les remercie très chaleureusement au passage. Ce sera l'occasion de discuter du bon vieux temps puisque sa maman était ma chef quand j'ai pris mes fonctions aux Archives nationales.

Nous sommes dans les temps pour rejoindre la quarantaine de coureurs du 50 km et les 200 concurrents du 100 km. A 20 minutes du départ les accompagnateurs vélos sont invités à se rendre en convoi au 5e km pour y attendre leur champion(ne). Pour moi pas d'accompagnateur, c'est pourquoi j'emporte avec moi un baladeur.
Contrairement à ce qui avait été dit la veille, à savoir dossard devant et derrière pour tout le monde, ce matin il est annoncé que les coureurs du 100 km ne doivent porter qu'un seul dossard placé sur la poitrine. J'aide donc Pascal à se débarrasser du papier en trop. Des dossards imprimés pour rien !

En cherchant des têtes connues, je pense reconnaître Greg mais comme je ne suis pas certain je n'ose l'aborder. Avec Pascal on va regarder la liste des inscrits mais sans nos lunettes, aucune certitude. Nous partons à la recherche de Francine et Marc qui accompagnent une amie qui débute sur la plus longue distance. Nous croisons des coureurs de l'AOC Charenton qu'Isaeblle connaît bien puisqu'elle est licenciée dans ce club proche de la capitale. Autant dire qu'entre Pascal et Isabelle les vannes fusent... Nous leur souhaitons bonne course. 
Marc et Francine sont fins prêts, ils nous présentent Karine qu'ils vont tenter d'accompagner jusqu'au bout de ce défi. Mais pas trop le temps de bavarder, l'heure du départ approche. Une petite photo avant de partir, on se souhaite bonne course et l'aventure commence, il est 6h30 !













Pascal m'expose vite fait sa stratégie. Elle est simple, courir le plus longtemps possible à 11 km/h et gérer comme il pourra après... Comme je n'ai pas d'objectif particulier je décide de l'accompagner jusqu'à ce que nos chemins se séparent, soit entre le 17e et 18e km à Salbris.
Il fait bien frais de si bonne heure dans la forêt solognote. J'ai donc bien fait de mettre des manchettes. Ça papote un peu dans le peloton, ça s'observe aussi. Pascal salue Stéphane Mathieu. Les kilomètres défient tranquillement pendant que le jour se lève. Arrive déjà le point de rencontre avec les accompagnateurs. Nous les passons tous sans voir Isabelle. Pascal est un peu inquiet mais elle s'est mise en retrait un peu plus loin, on ne peut pas la rater.
Le premier ravitaillement est déjà là. Pascal et moi avalons un gobelet d'eau vite fait et on reprend rapidement notre allure qui semble être légèrement plus rapide que celle prévue, mais je ne dis rien. Les lignes droites de cette belle forêt se dessinent. On sait ce qui nous attend. Nous revenons petit à petit sur Nadine alors qu'Isabelle a fait demi-tour pour aller saluer Marc et Francine à l'arrière du peloton.
Pascal m'informe qu'au prochain ravitaillement il s'arrêtera pour une petite pause technique et fera ainsi d'une pierre deux coups. Et ce second ravitaillement arrive déjà. La pause s'éternise un peu, je l'attends. Nadine en profite pour nous passer. Nous repartons avec l'envie de rattraper le temps perdu en passant à 12 km/h. Je sais que ça va me griller pour la suite mais ce n'est pas grave. A cette allure nous passons quelques concurrents.

La première ville traversée, Salbris, approche. Je suis étonné de ne pas encore avoir vu les premiers comme en 2009 quand j'avais fait les 100 km. De son côté Pascal s'inquiète de l'absence de son accompagnatrice mais peu de temps après, juste avant d'entrer dans Salbris, elle revient sur nous.
Pascal propose à Isabelle de l'attendre au prochain ravito pour qu'elle s'économise puisque les concurrents du 100 km font un petit tour dans la ville pour reprendre le même chemin dans l'autre sens, ce sera 5 km de gagné pour elle. Et ce 3e ravitaillement se présente. Je souhaite donc bonne chance à Isabelle pour la suite de l'aventure car elle va se poser là et attendre le retour de Pascal.
Il m'annonce que nous avons passé le 15e km en 1h17, soit une moyenne de 5'10 au kilo alors que mon allure marathon est plus proche des 6'. C'est l'assurance d'une mort annoncée.
Nous croisons enfin les premiers du 100 km. Les écarts sont serrés. Pascal reconnaît quelques célébrités, des coureurs qu'il a fréquenté au championnat de France des 24 heures.
Arrive le point de séparation de nos parcours. Pascal va tourner à gauche pour faire demi-tour alors que moi je vais aller tout droit. Je le quitte en l'encourageant, désormais je suis seul, très seul car nous ne sommes pas nombreux sur le 50 km et les écarts sont importants entre nous.

A la sortie de la ville, on nous dirige sur un chemin très agréable en retrait de la circulation. J'observe que la ligne d'arrivée, matérialisée par une banderole tendue entre deux arbres est située là,. Il nous reste 32 km environ, soit un aller-retour de 16 km. Je dépasse un coureur qui s'est arrêté pour se soulager. La longue ligne droite me permet de voir quelques coureurs très loin devant. Après plus de 2500 m sur ce sympathique chemin, entre le 21e et 22e km, un ravitaillement nous attend juste avant de retrouver le bitume.
Alors que je revenais sur une féminine, celle-ci, équipée d'un sac à dos avec le nécessaire pour s'alimenter et s'hydrater, ne s’arrête pas aux tables et reprend pas mal d'avance. Pendant ma pause restauration, le monsieur dépassé quelques kilomètres plus tôt me rejoint. Malheureusement pour lui il n'y a pas de salé aux ravitaillements du 50 km. Nous repartons ensemble. Il a la gentillesse de me proposer à manger mais comme j'ai pris ce dont j'avais besoin quelques secondes auparavant je décline gentiment son offre.
Il est en meilleure forme que moi et le trou se creuse rapidement. Je vais néanmoins repasser brièvement son accompagnatrice qui s'est arrêtée pour cueillir un énorme champignon. Par contre la fille devant moi s'arrête de plus en plus souvent. Je la dépasse sur cette très longue ligne droite qui me fait arriver au 5e ravito vers le 27e km.

Pour l'instant tout va bien, juste un petit arrêt pour me soulager à mon tour. J'ai le temps de constater les dégâts que font les sangliers sur les bords de la route. A certains endroits, les accotements sont labourés par ces cochons qui ont pourtant d'immenses forêts à leur disposition pour y trouver leur nourriture.

Vers le 29e km je croise le premier sur le chemin du retour, il en est au 40e. A peine deux minutes plus tard voilà le second, puis le 3e... Tous sans exception auront un mot gentil, je les encourage aussi. Puis c'est Franck qui arrive. Il est satisfait car certain de passer le marathon sous les 3h30, je le félicite.
Juste avant le carrefour pour prendre la route de Pierrefitte-sur-Sauldre, un ravitaillement nous est proposé, j'en suis au kilomètre 32,5. Un gobelet d'eau à peine avalé que Greg et son suiveur sont sur le chemin du retour. Il ne s'arrête pas, juste une tape amicale, on s'encourage pour la suite. C'était bien lui que j'avais vu avant le départ.
Tiens, une petite descente !. Et si ça descend à l'aller, ça remontera au retour... On a quitté la forêt et le magnifique soleil fait monter progressivement la température.
Pas grand monde pour nous accueillir à Pierrefitte. A  part les signaleurs et les 2 dames très sympathiques du ravitaillement à côté de l'église, au centre du bourg, la population ne semble pas intéressée par la manifestation.
Peu de coureur s'arrête à ce ravitaillement car la majorité a un accompagnateur avec tout le nécessaire. Les bénévoles sont contentes de papoter un peu mais je ne peux pas m'éterniser, j'ai encore 17 km à faire.

Et c'est reparti. Mais la côte va faire baisser nettement ma moyenne.
J'en suis au 36e kilomètre, c'est souvent là que je craque sur un marathon, ce sera le cas ici aussi. Je suis dépassé par premier puis un second coureur portant un maillot aux couleurs du marathon des sables. Ils auront des mots gentils pour me réconforter mais quand ça veux plus, ça veut plus.
Je paie aussi la première partie de course trop rapide. S'ajoute à cela un petit soucis, l'absence de toilettes et les immenses propriétés boisées, généralement des domaines de chasse privés, sont clôturées. Je prends mon mal en patience jusqu'au 42e km où je trouve un échappatoire. Je vais perdre au moins 4 minutes ce qui me fait passer le marathon en 4h01 pile poil.

Quelques centaines de mètres plus loin, à l'avant-dernier ravitaillement, je vais prendre deux carrés de chocolat mais je sens tout de suite que ça va pas passer. A partir de là, plus rien ne va mais je garde quand même le moral.
J'arrête de regarder ma montre qui affiche une moyenne qui baisse inexorablement. Je trottine avec des séquences de marches qui se font de plus en plus nombreuses. Désormais je ne croise plus personne depuis pas mal de temps et les coureurs devant sont très très loin que je ne peux les voir et derrière personne à l'horizon. J'hésite à mettre la musique mais comme il ne reste que 6 bornes environ, je vais faire sans.  Par contre j'ai de plus en plus chaud alors j'enlève buff et manchettes.

Salbris n'est plus loin. Un petit faux plat et me voici au dernier ravitaillement. Deux concurrents profitent de mon arrêt aux stands pour me passer, je ne pourrai jamais revenir sur eux. J'avale un coca pour essayer de faire passer ce chocolat et ça semble être efficace. Je repars pour les 3 petites bornes qui me séparent de l'arrivée sur cette paisible et jolie allée.. Un rapide coup d’œil au chrono et je me rends compte que je peux encore être sous les 5 heures ce qui serait un exploit et c'est ce que j'ai réussi à faire.

Je passe la ligne d'arrivée heureux d'être allé au bout de cette belle course.
Une dame me remet un sac en guise de cadeau "finisher" puis je vais m’asseoir pour profiter d'un dernier ravitaillement.
L'un des 2 coureurs à avoir terminé devant moi est en train d'être interviewé. Quand il se retourne, il aura un mot gentil c'est là que je me dis que ce visage ne m'est pas inconnu (c'est en voyant son nom dans la liste des 44 coureurs classés que j'ai tilté !!).
Je vais me changer vite fait pour profiter de la navette au plus vite car je tiens à être présent à Theillay pour accueillir les centbornards à leur arrivée.

Merci à l'organisation, à tous les bénévoles qui font tout pour que notre course se déroule au mieux. Merci à tous les coureurs qui ont eu des mots d'encouragements bien sympathiques.
Bravo à tous les coureurs du 50 et du 100 km et un bon rétablissement à tous ceux qui ont dû abandonner.
Un bravo spécial à Pascal et Isabelle qui ont fait une très belle course !! on remet ça quand vous voulez !
Mille merci à ma famille qui me laisse courir...
Enfin, un ENORME merci aux parents de Pascal pour leur accueil et leur générosité.

La trace de mon GPS Garmin

La même trace mais sur Opnerunner

Mes photos:
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